The evidence is real. The names are known. The lies are collapsing. From royal estates to Hollywood penthouses, no one is safe from what’s about to air. “They built empires on fear,” she said.…
La visite d’Ursula von der Leyen à Pékin a tourné au désastre, marquant une humiliation retentissante pour l’Union européenne. Le 24 juillet, la présidente de la Commission européenne, accompagnée du président du Conseil européen, Antonio Costa, s’attendait à un accueil triomphal dans la capitale chinoise. Au lieu de cela, elle a été reléguée à un minibus blanc, une image frappante de mépris qui a fait le tour du monde. Alors que les dirigeants européens espéraient négocier des accords commerciaux dans un contexte de tensions croissantes, ils ont été accueillis par un silence assourdissant. Aucun ministre, aucune cérémonie, juste un protocole qui les a dirigés vers un véhicule de transport banal, symbole d’un rejet cinglant de leur arrogance perçue. Les discussions qui ont suivi ont été brèves et brutales, avec Xi Jinping rappelant à von der Leyen que le respect doit être mutuel. Le sommet, censé être un moment fort de coopération, s’est transformé en une démonstration de puissance de la part de la Chine. Le dîner d’État, pièce maîtresse de la rencontre, a été annulé, laissant von der Leyen et son équipe dans une situation de profonde humiliation. Pendant ce temps, les PDG européens profitaient de banquets privés, concluant des accords lucratifs loin des yeux des politiciens. Cette scène n’est pas simplement le résultat d’un échec diplomatique ; elle représente un tournant dans les relations entre l’Europe et la Chine. Après des décennies de partenariat commercial, où la Chine est devenue un acteur incontournable sur le marché européen, cette rencontre a révélé les tensions sous-jacentes. La déclaration de l’UE de considérer la Chine comme un rival systémique en 2019 a laissé des cicatrices, et la visite de von der Leyen a fait éclater ces tensions au grand jour. La réalité est que l’Europe est désormais à la traîne, dépendante des technologies et des ressources chinoises. Alors que les dirigeants européens tentent de redresser la barre, la Chine a clairement indiqué qu’elle ne céderait pas aux pressions de Bruxelles. Les entreprises européennes, quant à elles, continuent de prospérer en Chine, tandis que les citoyens européens subissent les conséquences d’une politique commerciale malavisée. Ce moment de vérité, symbolisé par un simple trajet en minibus, marque la fin de l’illusion d’une Europe dominante sur la scène mondiale. La Chine, en refusant…