En une fraction de seconde, Georgia Meloni a humilié Emmanuel Macron devant les yeux de 2000 diplomates. Lors d’un sommet de l’OTAN à Bruxelles, la Première ministre italienne a snobé le président français, refusant de lui serrer la main, un geste qui a fait trembler l’Élysée et a fait le tour du monde en moins d’une heure.
C’était un moment chargé de tension. Depuis trois mois, les relations entre Paris et Rome s’étaient détériorées, marquées par des échanges acerbes et des désaccords sur la gestion de l’immigration méditerranéenne. Macron, désireux de montrer une image de réconciliation, a tendu la main à Meloni, mais elle l’a ignoré, le contournant sans un mot. Le silence qui a suivi a duré sept secondes, un instant figé dans l’horreur, où les diplomates présents ont compris que quelque chose de monumental venait de se produire.
Meloni a ensuite pris la parole lors d’une conférence de presse, déclarant avec une froideur dévastatrice : “Je ne sers pas la main au menteur.” Cette phrase a résonné comme un coup de tonnerre dans le monde diplomatique. Elle a accusé Macron de ne pas avoir respecté ses promesses concernant l’accueil des migrants, mettant en lumière l’hypocrisie de ses discours.

La réaction sur les réseaux sociaux a été immédiate et explosive. En moins de 24 heures, la vidéo de l’incident avait été visionnée 60 millions de fois. Les hashtags #Italiadinita et #MacronHumilié ont envahi Twitter, et les médias du monde entier ont relayé cet affrontement historique. Les analystes politiques s’interrogent sur les implications de cet incident, qui pourrait marquer un tournant dans les relations entre les pays européens.
À Paris, la crise est totale. Les conseillers de Macron se réunissent d’urgence, tandis que les sondages montrent que 68 % des Italiens soutiennent Meloni, et même 42 % des Français estiment qu’elle a eu raison de refuser la poignée de main. Les alliés traditionnels de la France, comme l’Allemagne, adoptent une position neutre, tandis que le gouvernement polonais exprime son soutien à l’Italie.
Ce moment de tension a non seulement révélé les fractures entre Paris et Rome, mais il a également secoué les fondations de la diplomatie européenne. Les leaders doivent désormais faire face à une opinion publique de plus en plus exigeante, qui ne se contente plus de belles paroles. Meloni a déclenché une onde de choc, transformant un simple sommet en un symbole de la lutte pour la dignité et l’intégrité nationale.
Les conséquences de cet affrontement pourraient être profondes et durables. Les citoyens européens commencent à redéfinir ce que signifie le respect et la responsabilité en politique. La scène de ce refus de poignée de main sera analysée pendant des années, un exemple de la manière dont la diplomatie peut être redéfinie à l’ère des réseaux sociaux. Ce jour-là, à Bruxelles, quelque chose s’est brisé entre la France et l’Italie, et ce qui s’est brisé pourrait bien être nécessaire pour forcer l’Europe à se regarder dans le miroir.
